GOUVERNEMENT CONSERVATEUR DE STEPHEN HARPER

Vous trouverez ci-dessous quelques exemples des activités immorales du gouvernement conservateur de Harper. Aucun gouvernement précédent n'a fait preuve d'un tel manque de responsabilité, d'un tel manque d'imputabilité et d'une telle mauvaise gestion financière que le gouvernement conservateur de Harper de 2006 à 2015.

Nominations au Sénat :

Harper a nommé de nombreux loyalistes conservateurs au Sénat. Plusieurs d'entre eux ont été suspendus du Sénat pour des allégations de malversations financières. Il a été révélé que son propre chef de cabinet était impliqué dans certaines de ces affaires. Un de ses sénateurs conservateurs a quitté le caucus conservateur après des allégations de relation sexuelle avec une adolescente.

Démission de Maxime Bernier

Un député conservateur a été contraint de démissionner de son poste de ministre des affaires étrangères après avoir laissé d'importants documents de l'OTAN au domicile de sa petite amie.

Anciens combattants

Au lieu de soutenir nos anciens combattants, les conservateurs ont à plusieurs reprises contrarié les vétérans, les soldats malades et blessés se sentant lésés, et en colère contre la fermeture de plusieurs bureaux régionaux des anciens combattants. En guise de protestation, les anciens combattants ont tenu un rassemblement à Ottawa le 4 juin 2014.

Fermeture de l'enquête sur les tortures subies par un détenu afghan

Lors d'une comparution devant une commission parlementaire en 2009, le diplomate canadien Richard Colvin a déclaré que les détenus afghans faits prisonniers par les soldats canadiens étaient torturés et maltraités. Les conservateurs ont refusé de publier des documents sur cette question et ont prorogé le Parlement en décembre 2009, mettant fin aux travaux du comité parlementaire qui enquêtait sur ces allégations.

Accusations concernant le président de la Cour suprême

Harper a accusé la juge en chef de la Cour suprême, Beverley McLachlin, de conduite inappropriée lorsqu'en 2014, sa nomination de Marc Nadon à la magistrature suprême a été rejetée parce qu'il ne remplissait pas les conditions d'admissibilité.

Utilisation abusive des fonds du G8

Lors de la réunion du G8 de 2010 au Canada, un ministre de premier plan, Tony Clement, a personnellement dirigé d'énormes sommes d'argent provenant d'un fonds "patrimonial" de 50 millions de dollars vers sa circonscription de Muskoka et pour un gazebo, sans aucune surveillance bureaucratique ni trace écrite. Clement, le même ministre avec ce dossier, a ensuite été promu président du Conseil du Trésor, pour superviser les dépenses du gouvernement.

Outrage au Parlement

Le gouvernement Harper a été impliqué dans un outrage au Parlement à deux occasions distinctes en 2011. Le ministre de l'Aide internationale a menti au sujet du déboursement de l'organisme de bienfaisance KAIROS, et du refus du Cabinet de révéler les coûts des réductions d'impôt pour les entreprises, des mesures de justice pénale et du programme d'avions de chasse F-35. Pour avoir refusé de divulguer au Parlement des informations sur le coût de ces programmes, que le Parlement était en droit de recevoir, le gouvernement Harper est devenu le premier dans l'histoire du Canada à être impliqué dans un outrage au Parlement.

Première prorogation du Parlement pour éviter la chute du gouvernement

En 2008, le gouvernement minoritaire de Harper était sur le point d'être défait par une coalition de libéraux et de néo-démocrates avec le soutien du Bloc Québécois lorsque Harper a fait dissoudre le parlement pour sauver son gouvernement.

Le ministre de la Défense utilise un hélicoptère de sauvetage

En 2010, le ministre de la Défense de M. Harper a été surpris en train d'utiliser un hélicoptère de sauvetage pour venir le chercher dans un pavillon de pêche privé sur la rivière Gander, à Terre-Neuve, ce qui a coûté environ 16 000 $ aux contribuables.

Refus de partager des informations budgétaires contre une ordonnance du tribunal

Malgré les ordonnances du tribunal, le gouvernement Harper a évité de partager les impacts des coupes avec le chien de garde indépendant du budget du Canada, contre le droit du Parlement de contrôler les fonds publics.

Les membres du Cabinet conservateur bénéficient d'une immunité de témoignage

Le gouvernement des conservateurs de Harper a exempté les membres du personnel politique de l'obligation de témoigner devant les commissions parlementaires.

Falsification de rapports et de documents

De nombreux documents, dont le document de l'ACDI sur Kairos, le rapport de la commission sénatoriale sur l'affaire Duffy, un rapport de l'ancien auditeur général sur la gestion financière, ont été délibérément modifiés.

Le ministre de l'Industrie a menti en accusant Statistique Canada d'avoir tué le formulaire long du recensement.

Le ministre de l'Industrie du cabinet Harper, Tony Clement, a affirmé que StatsCan avait soutenu l'idée de supprimer le formulaire long du recensement, ce qui n'est pas vrai.

Un député conservateur a admis avoir menti au Parlement

Lorsque les membres de l'opposition ont affirmé que le gouvernement Harper pouvait truquer les règles électorales en sa faveur, un député conservateur a été pris en flagrant délit de mensonge au Parlement, affirmant qu'il avait été témoin d'une fraude électorale. Plus tard, il a admis avoir falsifié à la Chambre des communes.

Le leader parlementaire conservateur s'est moqué de la période des questions

Le secrétaire parlementaire de M. Harper a été critiqué pour avoir donné des réponses absurdes lors de la période de questions, abusant ainsi du processus démocratique, ce pour quoi il a présenté des excuses.

Les conservateurs s'engagent dans un abus de procédure avec des projets de loi omnibus

En abusant clairement du processus démocratique, les conservateurs de Harper ont imposé au Parlement de multiples législations controversées par le biais de projets de loi omnibus. En raison du nombre écrasant de ces projets de loi omnibus, l'ancien vérificateur général a déclaré que le Parlement était presque devenu incapable de faire le travail que les Canadiens attendaient de lui.

Les conservateurs ont délibérément perturbé le système des commissions

Les conservateurs ont utilisé de nombreux moyens pour interdire l'accès aux témoins, limiter le temps de parole, et ont préparé un manuel informant les présidents de commission de la manière d'entraver les procédures.

Les députés conservateurs protestent contre le musèlement

En 2014, certains députés conservateurs ont commencé à protester pour avoir été censurés lors de la période des questions par le bureau du Premier ministre. L'ancien député conservateur Rathgeber est devenu indépendant et a écrit un livre, Irresponsible Government, mettant en évidence les pratiques antidémocratiques du gouvernement conservateur de Harper.

Un projet de loi conservateur réécrit l'histoire pour protéger la GRC d'éventuelles accusations criminelles

Le gouvernement Harper a fait entrer en vigueur rétroactivement un ancien projet de loi avant son adoption par le Parlement afin de protéger la GRC contre d'éventuelles accusations criminelles.

Le ministre Harper a utilisé des fonds publics pour de la publicité

Selon les médias, le ministre des Réformes démocratiques de M. Harper a fait appel à une équipe de fonctionnaires pour faire des heures supplémentaires un dimanche afin de le filmer avec l'argent des contribuables.

Conservateurs Corruption de copinage

Un copain conservateur corrompu et condamné a été nommé conseiller principal au sein du cabinet du Premier ministre. On a fait pression sur lui pour qu'il obtienne de l'argent pour un groupe de réflexion écologique et on l'a laissé diriger le même groupe de réflexion, le transformant en un promoteur de l'industrie pétrolière grâce à une subvention de 15 millions de dollars du gouvernement Harper.

Blocage de l'accès au système d'information

L'ancien commissaire à l'information a signalé que de nombreux nouveaux obstacles ont été placés par les conservateurs de Harper pour empêcher l'accès à l'information, ce qui constitue un abus de pouvoir.

Le silence de la fonction publique

Le PMO a pris de nombreuses mesures pour réduire le rôle de contribution politique de la fonction publique et de la bureaucratie. Leurs communications étaient scrutées par les politiciens. Le bureau du Conseil privé est également devenu de plus en plus politisé.

Serments de loyauté imposés aux fonctionnaires

Certains fonctionnaires se sont vu imposer des serments d'allégeance et ont été confrontés à des restrictions de la liberté d'expression.

Le gouvernement Harper poursuivi par un dénonciateur du ministère de la Justice

De nombreux projets de loi proposés par le gouvernement Harper ont été stoppés par les tribunaux car ils visaient à faire un score politique plutôt qu'une politique durable. Enfin, un avocat principal du ministère de la Justice a poursuivi le gouvernement pour avoir enfreint la loi en évaluant de manière inadéquate si les projets de loi proposés violaient la Charte des droits et libertés. Cela a entraîné sa suspension immédiate.

Le gouvernement Harper a bloqué l'accréditation des députés de l'opposition

Le PMO a empêché les membres de l'opposition d'être accrédités pour des conférences internationales sur l'environnement et de visiter des bases militaires, ce qui est le comble de l'hyperpartisanerie.

Utilisation de fonctionnaires se faisant faussement passer pour de nouveaux citoyens

Les fonctionnaires neutres ont été transformés en larbins, se faisant passer pour de nouveaux citoyens dans le cadre d'un exercice de relations publiques de renouvellement de la citoyenneté mis en scène par le ministère de l'Immigration.

Restriction de la liberté d'expression du corps diplomatique

Tous les diplomates canadiens avaient pour consigne de faire examiner et approuver leur correspondance par le centre politique conservateur et les ambassadeurs du pays n'étaient guère entendus. À ce sujet, un ancien ambassadeur de l'ONU a déclaré que notre culture politique sous les conservateurs avait atteint "un nadir d'indignité".

Bibliothèques des sciences aquatiques fermées

Le gouvernement Harper a décidé de réduire et de fermer les bibliothèques fédérales afin de limiter les informations sur l'environnement sans préserver les travaux essentiels.

Mauvais traitements et abus des immigrés

Le gouvernement Harper a apporté des changements au système canadien d'immigration et de réfugiés qui ont été critiqués par le Comité des droits de l'homme des Nations unies. Leur rapport indique comment des milliers de migrants ont été détenus pour une durée indéterminée sans procédure régulière et sans aucun soutien en matière de santé mentale.

Interférer dans le travail des agences indépendantes

Le gouvernement conservateur de Harper s'immisçait dans le travail d'organismes indépendants comme l'Office national de l'énergie et le CRTC, ce qui nuisait à leur autonomie. Le Bureau parlementaire du budget était également visé.

Emprunter des milliards sans l'autorisation du Parlement

Les emprunts fédéraux sans contrôle parlementaire dans les dépenses non budgétaires ont augmenté de manière significative.

Nominations controversées de chiens de garde

Le bureau de l'ancien commissaire à l'intégrité a examiné plus de 200 cas de dénonciation, mais aucune mesure disciplinaire significative n'a été prise à leur égard. Il s'est avéré que l'ancien commissaire à l'intégrité intimidait ses employés, prenait des mesures punitives à leur encontre et a été payé plus d'un demi-million pour quitter le bureau.

La dissimulation de la fuite de vidéos met les troupes en danger

Lors d'une visite en Irak, le PMO a tenté de dissimuler la fuite d'une vidéo de promotion, qui constituait une violation de la sécurité.

Utilisation de "gouvernement Harper" au lieu de gouvernement du Canada - Tromperie d'étiquetage

Au lieu de Gouvernement du Canada, on a conseillé aux fonctionnaires d'utiliser Gouvernement Harper.

Placement de logos de partis sur les chèques du gouvernement du Canada

Les annonces de dépenses publiques, qui sont des activités gouvernementales, ont été marquées d'une identité partisane.

Publicité politique partisane avec l'argent du contribuable

Les conservateurs ont utilisé l'argent des contribuables pour des publicités politiques partisanes qui ont coûté des millions de dollars au trésor public, et certaines de ces publicités visaient Justin Trudeau.

Subventions pour le financement des infrastructures dans les circonscriptions conservatrices

Les conservateurs de Harper ont fait en sorte que pas moins de 80 % des projets de financement d'infrastructures aillent aux circonscriptions conservatrices.

Annulation de la Commission des nominations publiques

Harper a abandonné la Commission des nominations publiques et a utilisé le système des nominations par favoritisme. En juin 2015, avant sa dernière élection, il a procédé à 98 nominations par favoritisme, y compris à la Commission de la capitale nationale.

Saper Statistique Canada, tuer les données

Le gouvernement Harper a supprimé les données du formulaire long du recensement, ce qui a entraîné la démission du chef de Statistique Canada en signe de protestation.

Museler la communauté scientifique

Les scientifiques de premier plan ont fait l'objet d'un examen minutieux de la part du gouvernement Harper, au point qu'ils ont organisé un rassemblement "Death of Evidence" sur la colline du Parlement le 10 juillet 2012, pour avoir été privés de la liberté d'expression.

Contrôler et limiter l'accès aux médias

Les conservateurs de Harper ont fait de leur mieux pour imposer des contrôles stricts aux journalistes. Lors du congrès des conservateurs à Calgary en 2013, de nombreux reporters ont été harcelés. Dans son livre Killing The Messenger, un journaliste a présenté de nombreux exemples de nouvelles limites imposées à la liberté d'expression par le gouvernement conservateur de Harper.

Un journaliste pénalisé pour avoir posé des questions

Un journaliste couvrant le discours de M. Harper sur le pétrole devant un public d'hommes d'affaires a tenté de poser une question importante sur les accusations portées contre un député conservateur. Le bureau du Premier ministre l'a pénalisé en lui interdisant de couvrir le voyage de M. Harper en Malaisie. Ce n'est qu'après de nombreuses interpellations qu'il a été autorisé à le faire.

Le ministre Harper donne le plus gros coup de poing à CBC

Après les élections fédérales de 2011, le ministre du Patrimoine avait promis de continuer à soutenir la CBC en tant que média d'État. Toutefois, en 2012, le gouvernement conservateur de M. Harper a imposé à la CBC la plus importante réduction de budget depuis le milieu des années 1990, bien plus importante en proportion que les autres programmes fédéraux, et ce contre le sentiment du public.

Suppression des rapports de recherche

Le gouvernement conservateur de Stephen Harper a non seulement muselé les scientifiques, mais il a aussi censuré les recherches et les études scientifiques qui s'y rapportaient. Par exemple, dans le débat sur l'enregistrement des armes à feu, des documents tels que le rapport sur les armes à feu n'ont pas été rendus publics.

Intimidation des opposants politiques

Pour intimider les opposants politiques, le ministre fédéral de la sécurité publique a annoncé ouvertement que toute personne s'opposant aux plans fédéraux visant à faciliter la surveillance électronique des Canadiens par les autorités sera considérée comme se rangeant du côté des pédopornographes.

Manque de respect pour les soldats tombés au combat

Le gouvernement conservateur de M. Harper a interdit aux médias de couvrir les cercueils des soldats morts au combat à leur retour d'Afghanistan et a refusé de mettre le drapeau en berne. Ce manque de respect a provoqué la colère des membres des familles des soldats morts au combat.

Surveillance généralisée des manifestants

Le gouvernement conservateur d'Harper a approuvé la surveillance des manifestants et des manifestations par les autorités de l'État. Le Centre des opérations gouvernementales a commencé à demander aux ministères fédéraux des informations sur les manifestants, ce qui a été considéré comme une violation de la Charte des droits des Canadiens.

De nombreuses organisations ont été démantelées

De nombreux groupes et organisations ont été démantelés, des groupes religieux ont vu leur budget réduit en raison de leurs penchants politiques présumés et ont finalement été dissous. L'un des exemples est celui d'une responsable de la Commission de sécurité nucléaire pour ses prétendus liens libéraux dans un passé lointain.

Espionnage d'un critique autochtone

Une défenseure autochtone de la protection de l'enfance a non seulement été espionnée par le gouvernement conservateur de M. Harper, mais on l'a également empêchée d'assister à une réunion avec d'autres dirigeants des Premières nations au ministère des Affaires autochtones. Le Tribunal canadien des droits de la personne lui a accordé 20 000 $ pour ces mauvais traitements.

Revenu Canada ne poursuit que certaines organisations caritatives

De nombreux organismes de bienfaisance, dont certains œuvrant dans le domaine de l'environnement, des droits de l'homme et de la liberté d'expression, ont fait l'objet d'une chasse sélective de la part de Revenu Canada, que certains critiques considèrent comme politiquement motivée.

Les conservateurs utilisent des tactiques pour forcer le projet de loi antisyndical

Dans une attaque contre la force de travail au Canada, les sénateurs conservateurs ont passé outre les procédures du Sénat pour soutenir un projet de loi poussé par le gouvernement conservateur de Harper qui a été considéré par de nombreuses critiques comme inconstitutionnel pour ses mesures d'invasion de la vie privée imposées aux syndicats.

Attaques personnelles contre un député libéral faisant allusion à des liens avec le terrorisme

En ce qui concerne l'opposition du Parti libéral au plan conservateur de 2007 visant à étendre la législation antiterroriste, M. Harper a tenté de suggérer que les libéraux voulaient protéger le beau-père de leur député Navdeep Bain qui, selon un article récent, figurait sur la liste des témoins recherchés par la GRC dans le cadre de son enquête sur l'affaire Air India. Comme il n'y avait aucune preuve, les libéraux ont demandé à Harper de s'excuser.

La diffamation des défenseurs des anciens combattants

Les dossiers médicaux d'un ardent défenseur des droits des anciens combattants ont fait l'objet d'une fuite dans une affaire jugée alarmante par le commissaire à la protection de la vie privée. L'ombudsman d'Anciens Combattants Canada a été pénalisé pour avoir critiqué le gouvernement sur cette question.

Opérations secrètes des conservateurs contre les opposants politiques

Les conservateurs de Harper enregistraient secrètement leurs adversaires politiques pour les piéger. L'un de ces exemples est l'opération menée contre le candidat libéral Marlo Raynold en Alberta, qui était censé être soutenu par l'un des ministres de Harper.

L'arnaque des Robocalls des conservateurs

Les conservateurs ont mis en place une vaste escroquerie par robocall dans laquelle un agent conservateur a été condamné à une peine de prison pour son rôle. Une autre affaire a été portée devant les tribunaux par le Conseil des Canadiens, qui a déclaré que l'opération de robocalls était plus étendue que la seule circonscription de Guelph.

L'ex-secrétaire parlementaire de Harper emprisonné pour avoir enfreint la loi électorale

L'un des secrétaires parlementaires préférés de M. Harper, qu'il utilisait pour attaquer ses adversaires politiques, a été reconnu coupable et condamné à une peine d'emprisonnement pour avoir commis des infractions en matière de dépenses électorales excessives.

Campagnes sales contre les députés

Les conservateurs de Harper ont mené une campagne de désinformation dans la circonscription de députés très respectés, et même le président de la Chambre conservatrice a rendu cette décision.

Les conservateurs ont interdit le droit démocratique de Crosbie

Les conservateurs de Harper ont empêché Ches Crosbie, fils de l'ancien ministre conservateur John Crosbie, de se présenter pour le parti à Terre-Neuve, ce qui a été considéré comme contraire aux droits démocratiques.

Violation des dépenses électorales entraînant la démission d'un membre du Cabinet

Le ministre conservateur de Harper, M. Penashue, a été contraint de démissionner en raison de violations des dépenses électorales.

Les conservateurs tentent d'encadrer la campagne électorale

Lors de la campagne électorale de 2011, un stratège principal de Harper a faussement inventé une histoire dans Sun Media selon laquelle Michael Ignatieff était un planificateur de la guerre en Irak. Bien qu'il ait été rapporté qu'en 2003, alors qu'il était chef de l'Alliance canadienne, Harper avait publié une lettre dans le Wall Street Journal pour tenter de faire participer le Canada à la guerre en Irak et avait critiqué le premier ministre Jean Chrétien pour avoir refusé de le faire.

Le bureau de Harper a utilisé des stagiaires pour interrompre le discours de Justin Trudeau

Le bureau du PMO a envoyé des employés juniors sous l'apparence de citoyens normaux pour interrompre le discours de Justin Trudeau.

Des citoyens mis à la porte des rassemblements de Harper

Les agents du Parti conservateur ont exclu certains Canadiens d'un rassemblement de Harper lors de la campagne de 2011 en raison de leurs liens marginaux avec d'autres partis, ce dont ils ont dû s'excuser. Ils sont favorables à l'idée de n'autoriser que les partisans de Harper entièrement contrôlés, sur invitation uniquement, à assister à la campagne du Premier ministre.

Obliger les participants à un événement à signer un ordre de bâillonnement

En plus de contrôler minutieusement les participants à leurs événements de campagne, les organisateurs de la campagne de M. Harper obligeaient les gens à signer un accord de non transmission de toute description de l'événement ou de toute image de celui-ci, ce qu'ils n'ont cessé de faire que lorsque les médias les ont interpellés.

Les conservateurs ne tiennent pas compte de leur propre nouvelle loi électorale.

En 2008, les conservateurs de Harper ont ignoré et violé leur propre nouvelle loi stipulant des élections tous les quatre ans.

Coupable de l'affaire In and Out de 2006

Le Parti conservateur a plaidé coupable à certaines accusations de dépassement des limites de dépenses en vertu de la Loi électorale lors de la campagne électorale de 2006, dont l'enquête a coûté plus de 2 millions de dollars aux contribuables.

Projet de loi conservateur visant à retirer des pouvoirs à Élections Canada

La loi sur les élections équitables a été élaborée par les conservateurs pour les Canadiens afin de rendre le vote plus difficile en exigeant davantage de pièces d'identité, mais elle a été retirée après une protestation nationale contre cette mesure antidémocratique.

Un ministre conservateur dénigre le PDG d'Élections Canada

Le ministre Harper Pierre Poilievre a accusé le PDG d'Élections Canada d'être un homme de pouvoir.

Réécriture des lois sur le droit d'auteur pour obtenir du matériel pour des publicités offensives.

Les conservateurs de Harper voulaient réécrire la loi sur le droit d'auteur pour que les partis politiques puissent utiliser gratuitement le contenu des médias dans leurs publicités. Ainsi, leurs opinions pourraient être utilisées dans des publicités d'attaque politique.

Les conservateurs utilisent la propagande des terroristes dans une publicité d'attaque.

Le parti de M. Harper a créé une publicité politique intégrant de la musique et des images horribles de captifs condamnés, tirées directement de la vidéo promotionnelle de l'État islamique, pour cibler ses adversaires politiques, en particulier Justin Trudeau, dont l'opinion sur les risques et les avantages d'un bombardement d'ISIS diffère de celle de M. Harper.

Utilisation la plus élevée de publicités d'attaque personnelle

Les conservateurs de Harper sont devenus le premier parti à utiliser régulièrement les attaques personnelles en dehors d'une campagne électorale. Ils ont utilisé des déclarations intentionnellement sorties de leur contexte. Cette pratique était plus élevée que celle de tout autre gouvernement dans le passé.

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